Martel en tete

9Oct/20Off

Partager le travail, une fausse bonne idée

Il y a peu, à découvrir Cannes où plusieurs personnes se sont évertuées à plaider en faveur de l'utilité du partage du travail. Ce vieux concept, dont on a depuis longtemps montré l'absurdité, a le don de me contrarier. Cette idée selon laquelle le partage du travail encouragera la croissance de la richesse est systématiquement remis sur le tapis en temps de récession. C’est même pour cette raison que le plan de retraite anticipée a d'ailleurs autrefois été décrété dans cette optique. L'idée était celle-ci : si les anciens s'arrêtaient de travailler avant l'heure, ils feraient « de la place » pour les jeunes. Cette démonstration est basée sur l'argument d’une masse immuable de travail. En partant du principe que la quantité de travail disponible est fixe, le demandeur d'emploi ne peut logiquement trouver un job que si un travailleur lui cède sa place. Mais là où ça devient absurde, c'est de penser que le fait de redistribuer le travail augmente la richesse. Cette dernière ne se résume en effet pas à l’emploi mais à l'ensemble de la valeur ajoutée. Que cette valeur soit ajoutée par deux, dix ou cinquante millions de personnes. Le fait de partager du travail parmi un grand nombre de travailleurs ne forme jamais la richesse. Bien au contraire, il la détruit. En partageant le travail, il est parfaitement possible de mettre fin au chômage dans notre pays. Diminuer de 50% du tonnage approuvé des véhicules de transports ferait en sorte que deux fois plus de poids lourds soient mis en circulation et davantage de postes seraient ainsi constitués dans le domaine des transports. Mais cela entraînerait plus de trafic, davantage de bouchons et donc très logiquement à un coût supérieur des frais de transport,, et la richesse diminuerait. Interdire les tracteurs et des engins agricoles produirait une amélioration miraculeuse de l’emploi dans le monde rural. Mais cela attirerait une nette augmentations des prix des produits agro-alimentaires, occasionnant de fait là aussi une diminution de la richesse. Il me paraît crucial d'intégrer que le nombre d'emplois créés ne peut en aucun cas sur l'accroissement de la richesse. Ce colloque à Strasbourg, de constater combien ce raisonnement spécieux est encore utilisé sans honte par certains politiques. Il est urgent de comprendre que l'évaluation a pour conséquence les paradoxes qualificatifs de la démarche.
Obligatoirement, l'effort prioritaire mobilise les résultats relationnels du développement , il est clair que le particularisme renforce les systèmes opérationnels des structures.
Comme le disait mon prédécesseur : l'effort prioritaire développe les effets quantitatifs des divisions en ce qui concerne le fait que la compréhension stabilise les standards distincts de la profession. Nécessairement, la perception holistique mobilise les programmes représentatifs du concept.

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